Il est d’usage de dire et d’écrire : « la commune fête sa centenaire ».
Vous remarquerez l’usage du déterminant possessif, on ne dit pas « un centenaire » mais « son ou sa centenaire ». Et ceci n’est pas anodin.
En effet chaque commune porte une affection bien particulière à ces hommes et à ces femmes qui ont traversé un siècle et qui appartiennent à l’histoire du lieu où ils ont passé la plus grande partie de leur vie.
Le maire, Henri HAXAIRE, accompagné de l’adjointe Murièle BREITENBACH ont été extrêmement heureux de lui rendre hommage et lui ont offert un magnifique bouquet.
Son regard est vif, son sourire radieux et sa bonne humeur sont communicatifs.
Née le 12 avril 1920, Marguerite HERBETH est issue d’une famille de 8 enfants (5 filles, 3 garçons).
Elle est la sixième de la fratrie. Ses parents se sont mariés le 13 mai 1907 à Willerwald et étaient propriétaires d’une épicerie.
Marguerite a travaillé durant de nombreuses années dans une agence postale de Metz mais a toutefois passé tous ses week-ends dans son village et s’y est définitivement établie au moment de sa retraite.
« Vieillir n’est pas facile. Le plus simple est peut-être d’y consentir et d’accepter ses évolutions physiques et sociales. C’est comme cela ! » dit elle.
Bien souvent, on entend parler de la longévité en termes de « recette » comme s’il existait un élixir de longue vie ou des formules magiques à prononcer.
Alors Marguerite, quelle est la vôtre ?